Miss Joe
Je suis une trentenaire à la recherche de l'amour, du plaisir, de la vie !
Les Confessions de Miss Joe
Créé le 16/12/2012
Parce qu'écrire est un acte thérapeutique. Soigner les maux par les mots.
Catégorie : blog Journal Intime
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Articles à découvrir
Correspondances : la fin...
Jeudi. Ma douce, Tu dois bien te douter que ta lettre m’a surpris et qu’un instant le ciel m’est tombé sur la tête. Pourtant, je savais que notre relation était basée sur le sexe et jamais tu ne m’as…
Ses maux, ma langue... (1)
Ses maux, ses mots… Rien ne pouvait mieux soigner ses maux que ma langue. Je pose les mains sur ses hanches, et embrasse la peau douce et lisse de son ventre. Une pluie de baisers, légers comme des…
Correspondances : la marguerite
Mardi. Ma chérie, ma reine Éros, Vraiment, chaque rencontre est une surprise. Tu me combles de tes bienfaits, de ton audace. Aujourd’hui, dès ton arrivée, j’ai senti comme une tension, une lueur dans…
Les onze mille verges
Arrivé devant la porte du vice consulat de Serbie, Mony pissa longuement contre la façade, puis il sonna. Un Albanais vêtu d’une fustanelle blanche vint lui ouvrir. Rapidement, le prince Vibescu…
Correspondances : la Déesse
Ma chérie, ma maîtresse, Ton opération et ta coquetterie de ne pas te montrer avant d’être entièrement remise m’avaient privé de ta présence pendant six interminables semaines. J’espère que toi aussi…
Les nuits d'une demoiselle
Que c'est bon d'être demoiselle Car le soir dans mon petit lit Quand l'étoile Vénus étincelle Quand doucement tombe la nuit... Je m'fais sucer la friandise Je m'fais caresser le gardon Je m'fais…
Correspondances : Madame joue du pipeau
Mardi. Ma chérie, Vraiment, tu m’as gâté hier et il faut que je te remercie. Peut-être que le résultat de nos analyses t’a libérée ; en tout cas, jamais je n’oublierai la première fois où j’ai pu…
Con large comme un estuaire
Con large comme un estuaire Où meurt mon amoureux reflux Tu as la saveur poissonnière l’odeur de la bite et du cul La fraîche odeur trouduculière Femme ô vagin inépuisable Dont le souvenir fait…
L’Idole, Sonnet du Trou du Cul
Obscur et froncé comme un oeillet violet Il respire, humblement tapi parmi la mousse Humide encor d’amour qui suit la fuite douce Des Fesses blanches jusqu’au coeur de son ourlet. Des filaments…
Minuit, tous les chats sont gris
Minuit, je ne dors pas... Encore La nuit sera courte, je dois retrouver le sommeil... La pensée vagabonde... Boulot, métro, famille... Je tends le bras... Attrape mon MP3... La voix de la Callas dans…